Ils aiment les refrains fédérateurs, les chœurs et les harmonies vocales. Ils ont en eux l’évidence de la mélodie addictive. En quatre années d’existence, ce quatuor bordelais a su hisser sa pop hybride à un haut niveau d’exigence, en balayant de nombreux courants : entraînant et moderne, le groupe a accepté de répondre à nos questions. Merci de l’intérêt porté au blog.
Comment peut-on vous présenter à nos lecteurs ?
On est 4 dans le projet, tous originaires de Bordeaux, ville dans laquelle on a grandi. Notre musique est hybride dans le sens où elle mélange des sonorités électroniques avec des sons beaucoup plus bruts, plus acoustiques. Si on devait nous classer dans une catégorie ça serait peut-être « Indie Pop ».
Quelle est votre histoire, comment le groupe Tample est-il né ?
Au départ on répétait le soir pour s’évader et passer un moment ensemble et on a eu envie d’aller plus loin tout simplement.
Vous connaissiez-vous avant de former le groupe ? Jouiez-vous dans d’autres groupes auparavant ?
Nous étions amis bien avant de commencer le projet, c’est l’amour de la musique et cette amitié qui nous ont donné envie de lancer le projet. Nicolas aux percussions et clavier faisait partie d’un groupe de cold wave bordelais ATOM et pour les autres ; Sam, Gerald et Fred il n’y a eu que le projet Tample.
Quelles sont vos influences musicales ? Et en quels mots pourriez-vous définir votre démarche artistique ?
Who Made Who, Isaac Delusion, Hot Chip : ces groupes jonglent habilement entre mélancolie et dancefloor mais de manière complètement différente. Notre projet s’inscrit dans cette mouvance avec notre singularité.
On est aussi influencé comme beaucoup de musiciens par des groupes très fédérateurs comme Franz Ferdinand, Phoenix, Justice, Tame Impala et bien d’autres…

La mélodie est centrale dans notre musique, nous aimons les refrains fédérateurs, les chœurs, les harmonies vocales, les riffs de guitare etc. Mais cela ne peut fonctionner que si on arrive à exprimer quelque chose à faire jaillir des émotions et de proposer quelque chose de sincère et singulier, c’est ce qu’on essaye de faire.
Je vous ai découvert avec le titre « Chimera » : de quoi parle principalement le titre ?
Le morceau parle d’un jeune homme très rêveur qui manque de confiance en lui et qui a beaucoup de mal à rester dans le moment présent.
Il évoque ses émotions à la suite d’une rupture sentimentale. Il y a, dans la musique, une ambiance un peu nostalgique et chimérique, ouatée comme dans les rêves.
« Chimera » fait partie de votre premier album « Summer Light » : pouvez-vous nous le présenter en quelques mots ?
« Chimera » est un morceau planant, évasif avec une touche tribal et un refrain fédérateur qu’on espère entêtant.
Vous allez bientôt participer au Crossroads Festival. Connaissiez-vous déjà cet événement ? Y avez-vous déjà participé et qu’attendez-vous de ce rendez-vous ?
On a jamais participé au Crossroads Festival, c’est une première. On y va pour s’amuser, défendre notre album, et rencontrer de nouveaux programmateurs pour alimenter encore plus notre tournée.
Quel est votre rapport au live ?

13/09 – Crossroads Festival
22/09 – Reeperbahn Festival à Hambourg (Allemagne)
26/10 – Rock school Barbey à Bordeaux
08/11 – Onyx Saint-Herblain
16/11 – Cabaret Vauban à Brest
22/11 – Café de la dans à Paris
15/12 – Le Camji à Niort
Réseaux sociaux : Facebook | Twitter | Youtube | Instagram|Soundcloud
Page artiste : https://www.crossroadsfestival.org/tample
On se laisse en musique avec Summer Light 🙂